L’INRA vient d’inaugurer à Nouzilly (Indre-et-Loire), en présence de deux ministres, une gigantesque animalerie sécurisée (12 millions d’euros investis, pour 4 120 m² de locaux).
De grands animaux de ferme y seront sacrifiés, disséqués, autopsiés pour tester de nouveaux vaccins. Il est même prévu qu’"aucun ne sorte vivant, afin de rendre impossible toute propagation des germes".
Ces pauvres animaux se verront injectés des prions (vache folle), la fièvre aphteuse, la fièvre catarrhale, la grippe aviaire, ou autres brucelloses, salmonelloses, et chlamydioses.
Ironiquement, les responsables du centre affirment que "le bien-être animal a été pris en compte, conformément aux normes européennes les plus exigeantes"… On vous laisse imaginer ce que ça donne quand ils ne s’en soucient pas !